Portfolio

Premier brouillon

Ce que vous visitez en ce moment est la deuxième version de mon portfolio. La première version a été réalisée dans un état d’esprit différent de celui d’aujourd’hui. Après une échéance réussie pour le développement du site web de la Fédération Française de Roundnet, je me suis permis le luxe de prendre une petite semaine de “vacances” pour travailler sur moi-même - ou du moins, sur ce portfolio. Dans sa v1, je dirais qu’il avait deux rôles majeurs :

  • Renforcer mes compétences en React et NextJS, et confirmer mon appétence pour ces deux librairies.
  • Découvrir, dans un environnement adapté et avec du temps libre, Tailwind CSS.

Et aujourd’hui ?

Le portfolio v1 n’était pas destiné à être mis à jour très fréquemment, bien que j’aie pris soin de développer mes fonctionnalités et composants de manière à ce qu’ils soient facilement maintenables. Ses données provenaient de Supabase, avec une configuration minimale qui servait surtout à découvrir une plateforme qui m’intriguait des semaines avant la conception de ce portfolio. Mais peut-être que cela semblait un peu exagéré pour un portfolio, mais cette décision a été prise avec le marché du travail à l’esprit.

Comme mes compétences et mes goûts en matière de design UX/UI ont évolué, j’ai voulu profiter de l’occasion pour redessiner mon portfolio. Je voulais le rendre plus minimal dans le style comme dans la performance, et pour ce faire, j’ai dû faire quelques choix.

Je suis passé de React à Astro, un nouveau framework que j’ai découvert il y a quelques mois et qui me semble plus adapté au contenu statique (il n’y a pas beaucoup de contenu dynamique sur un portfolio, n’est-ce pas ?) Comme mon objectif avec tout side project est de tester quelque chose de nouveau à chaque fois, j’ai pensé que c’était une bonne occasion d’essayer le flux et la logique des composants du serveur. Sa compatibilité avec React était un plus conséquent pour retomber sur mes pattes dès lors qu’il fallait ajouter de l’interactivité côté client.

Less is more ! Fini le vert, les teintes et les dégradés. Je voulais vraiment me concentrer sur le contenu plutôt que sur le design. Ou devrais-je dire, un mauvais design, comme c’est souvent le cas avec les portfolios juniors. Quand on essaie de tout faire, on finit par faire des choix d’interface utilisateur… discutables.

Alors, du noir, du blanc, quelques carrés et c’est tout. Inter comme police : mieux vaut prévenir que guérir. Celle-ci est là pour rester ! (rendez-vous dans un an, v3.)